Quand j’étais au primaire, je dirais autour de ma deuxième ou troisième année, chaque vendredi soir que le bon Djeu m’amenait, j’attendais mon lift, le capot déjà sur le dos pis toute, la tête accotée dans la vitre de la porte chez nous. C’est que le père de mon ami, Simon à Gérald, donc Gérald pour ceux qui ne seraient peut-être pas vite vite, passait me chercher en panel pour aller au badminton. Ah non, nous, on jouait pas. C’est Gérald et ses amis qui . . .