Je n’aime pas la chicane. Je n’ai jamais aimé ça. En fait, je ne suis pas habilité à composer avec ça. Quand j’étais petit, je n’ai jamais vraiment eu connaissance d’un argumentaire solide entre deux personnes. On ne se chicanait pas par chez nous. Mes parents ne se chicanaient jamais, ou du moins jamais devant les enfants. À Noël, ça ne se chicanait pas plus dans la famille élargie. Personne ne partait de là en claquant la porte ou en sacrant après quelqu’un, comme ça se passait parfois dans plusieurs autres familles si j . . .