Un autre café avec Éverade pis Arthur

Heille, non, mais c’était t’i’ pas assez beau!

Everrade, si tu me parrles encorre de ton Anse-aux-Baleiniers, j’godam mon camp parr chez nous su’ une frrippe!

Ben arrête ouare tes armenas, j’te parle pas d’l’Anse-aux-Baleiniers, j’te parle de l’éclipe…

L’éclipse.

L’éclipe.

L’éclipse. 

L’éclipe.

…pse.

C’est ça, l’éclipe. Anyway. C’était assez beau. J’avais jamais vu l’Anse-aux-Baleiniers éclairé d’même. 

C’est garranti que tu me niaises…

Ben oui, j’te niaise, tête à pât . . .

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