Heille, non, mais c’était t’i’ pas assez beau!
Everrade, si tu me parrles encorre de ton Anse-aux-Baleiniers, j’godam mon camp parr chez nous su’ une frrippe!
Ben arrête ouare tes armenas, j’te parle pas d’l’Anse-aux-Baleiniers, j’te parle de l’éclipe…
L’éclipse.
L’éclipe.
L’éclipse.
L’éclipe.
…pse.
C’est ça, l’éclipe. Anyway. C’était assez beau. J’avais jamais vu l’Anse-aux-Baleiniers éclairé d’même.
C’est garranti que tu me niaises…
Ben oui, j’te niaise, tête à pât . . .