Considéré comme un véritable fléau, y compris par l’Assemblée nationale, le GHB constitue un problème de société à prendre au sérieux, tant aux Îles qu’ailleurs au Québec. Depuis la fin de la pandémie, les abus sexuels déclarés publiquement ont plus que doublé sur le territoire. Ces crimes sont-ils liés à ce qu’on appelle communément la drogue du viol?
Santé Canada nous apprend que le GHB, ou gamma-hydroxybutyrate, est présent naturellement dans l’organisme. Connu pour ralentir et calmer l’activité cérébrale, des médecins en prescrivent pour contrer les troubles du sommeil. Dans les laboratoires illégaux, on parle souvent d’ecstasy ou de MDMA liquide, quoique cette drogue peut également être offerte en poudre. Ses effets sédatifs se manifestent de 5 à 30 minutes après consommation et empêchent toute personne de résister à une agression sexuelle. Une quantité minime suffit pour déclencher une réaction dans l’organisme.
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