Fut un temps où, chaque samedi après-midi que le bon Djeu nous amenait, je traversais le parc pour aller chez pepé demander à une ou l’autre de mes tantes de venir avec moi au centre d’achat me louer un film chez Édouard Arseneau. Oui, parce que quand j’étais adolescent, on n’avait pas encore les Netflix et autres plateformes d’écoute pour se choisir un film dans le confort de notre pyjama à patte. Il fallait se bouger le derrière, s’habiller, sortir de chez nous et se rendre physiquement quelque part pour faire notre s . . .