Il fait chaud dans le bois. Très chaud. J’avance péniblement à travers les conifères avec mes deux fusils à pétard : un révolver de cowboy à ruban et un six coups, style fusil de mafieux. Puis, tout à coup, un bruit. Une branche qui craque. Mais ce n’est clairement pas le vent parce qu’il ne vente pas aujourd’hui. Sûrement un ennemi qui avance vers moi. Je dois me préparer au pire. J’avance le plus silencieusement vers ledit bruit, pointe mes armes un peu à l’aveuglette… et tire deux coups. « T’es mort! », que . . .

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