La morve au nez, pis toute

Ça y est! C’est fait! Le frette nous a poignés. Par chez nous, sur la Rive-Sud de Mourial, j’ai passé de la culotte courte à la canneçan longue dans l’espace de cinq ou six heures. J’ai été promener le chien, on était bien, pis je suis finalement revenu chez nous avec la morve au nez, pis toute. Et chaque année, quand le frette débarque dans ma vie, ça me rappelle à quel point je le hais. Et depuis toujours . . .

______________________________________

Ce contenu est réservé aux membres de l'édition électronique.

Pour vous abonner, cliquez ici !

Retour en haut