Le recul moyen des berges des Îles de la Madeleine sous le passage de la tempête post-tropicale Fiona, l’an dernier, a été trois fois plus important que l’érosion annuelle moyenne enregistrée au cours de la période 2005-2022. Selon les données du Laboratoire de dynamique et de gestion intégrée des zones côtières de l’Université du Québec à Rimouski (UQAR), qui suit méthodiquement l’érosion du territoire depuis près de 20 ans, il a été de 2,1 m, contre une valeur annuelle moyenne de 0,7 . . .