La saison touristique qui approche est souvent synonyme de déménagement « forcé »pour de nombreux locataires, un phénomène récurrent aux Îles de la Madeleine. La crise du logement pèse sur un nombre grandissant de personnes vulnérables qui acceptent cette pratique faute de ne pouvoir trouver mieux ou par peur des conséquences de faire valoir leurs droits.
Avec un taux d’inoccupation frôlant 0,4 %, un parc de logements locatifs à l’année restreint, la surenchère immobilière et la location touristique, plusieurs familles, retraités et jeunes adultes qui sont à la . . .