Quand j’étais petit, on dirait que les dimanches avaient toujours un petit quelque chose de spécial. Les samedis, on était encore sur le rush de l’école, tandis que les dimanches étaient comme notre première vraie journée de la fin de semaine. Première… et dernière en même temps, dans le fond. Ce dimanche après-midi là avait été exactement à l’image de tous les autres, c’est-à-dire simple, prévisible… mais avec ce petit quelque chose de rassurant en même temps . . .