HOMADIAG : des biotests à approfondir

Les homards qui consomment du maquereau dégradé comme appât ont une concentration d’histamine de trois à quatre fois supérieure à la normale dans leur sang, qu’on appelle l’hémolymphe. C’est ce qui ressort des biotests réalisés l’été dernier dans le cadre du projet de recherche HOMADIAG, visant à développer de nouveaux outils pour diagnostiquer la qualité du homard vivant des Îles avant son envoi sur les marchés. L’histamine, une toxine responsable d’allergies alimentaires chez l’humain, se développe dans les tissus du maquereau entre 24 et 48 heures d’exposition au soleil ou entre 48 et 72 heures en glacière. 

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