Je monte doucement l’échelle de bois qui mène en haut de l’étable à pepé pour être sûr que la portée de petits chats n’y est vraiment plus. Ça fait un bout que je ne les aie pas vus, mais comme on va monter les nouvelles bottes de foin ici après-midi, il n’est pas question qu’on écrase les bébés chats par accident. Heureusement, il n’y a plus personne. Nos pensionnaires temporaires ont quitté leur nid douillet pour aller vivre leur vie ailleurs. Il ne reste que de la vieille . . .