En tant que navigateurs, nous avons pu exceptionnellement entrer au pays sans visa. Malgré tout, il faut régulariser notre situation à l’aéroport international de Bissau. Près de cent milles nautiques nous séparent de la capitale.
La situation a été semblable au Sénégal. Même si la police douanière a fait le nécessaire, il a fallu se présenter à l’aéroport de Cap-Skirring avant de repartir en mer. Tout pour soutirer du fric à ceux et celles qui pénètrent au pays autrement qu’en avion, on dirait. Va-t-on . . .