Avec le recul, je trouve que la religion permettait également une sorte de paix d’esprit. Il me semble qu’on devait être plus zen en sachant qu’il y avait quelqu’un, au-dessus de nous, qui veillait au grain. En priant pour qu’il nous aide avec nos différents petits et grands tracas, c’est comme si on n’était plus seul à s’en inquiéter et surtout à s’en occuper. Et quand le résultat escompté n’arrivait pas, on pouvait se dire : « On dirait bien que c’est pas c’qu’le bon Djeu voulait . . .