Les professeurs passionnés qu’on croise tout au long de notre parcours scolaire influencent beaucoup qui nous sommes.
Dans mon cas, il y a évidemment Jean-Jacques à Éphrem qui a eu un impact majeur. Comme à peu près tous ceux et celles à qui il a enseigné en secondaire cinq, d’ailleurs. Et il n’avait pas une mission facile : faire aimer un tant soit peu la poésie et le théâtre à de jeunes ados qui se croient adultes malgré la mollesse de leur tentative de moustache en dessous du nez. Il a pourtant réussi. J’ai, encore . . .