Chaque nœud que le vent souffle nous permet d’avancer vers notre but. En mer, ils sont nos alliés. Sur terre, nos pires ennemis.
Ce matin, la mer est tout aussi clémente qu’hier, sauf qu’une légère houle de derrière s’est formée, comme pour pousser Éléis vers son destin. L’anémomètre affiche dix ou onze nœuds, un exploit par les temps qui courent. Demain, on devrait atteindre le double, mais je ne suis pas pressée . . .