Un autre café avec Éverade pis Arthur

L’autre jour, j’attendais en file à L’Éveil, pis la vieille en arrière de moi était aux alarmes à me cracher ses poumons dans l’cou. Non, mais tu sais! Pis assez proche de moi qu’à l’aurait pu voir la grandeur de mes canneçans, c’est pas des saintes farces !

J’le sais ! Même affairre que moi l’autrre jourr au burreau d’post office. Le gars à chose là, mon voisin d’en haut qui pêche son maquerreau en frraude là… il était là à s’moucher quasiment dans l’crreu d’sa main pis le . . .

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