Je n’ose imaginer le plaisir ressenti si j’avais connu le Cap-Vert avec les bateaux-stoppeurs fréquentés aux Canaries. Quelle joie que de vivre sans lendemain auprès de ces voyageurs issus d’une douzaine de pays! Décidément, je préfère une vie remplie d’êtres que d’avoirs . . .