Je n’ai jamais trop compris pourquoi le capitaine d’Éléis n’a pas voulu quitter honorablement la Guinée-Bissau. Au lieu de faire estampiller nos passeports et tamponner les documents de sortie du bateau, nous avons délaissé les Bijagos pour braquer vers le nord à l’aube d’un matin doux . . .