La rivière Gambie, c’est le charme des mangroves retrouvé. On s’y enfonce à pas feutrés, tel un loup en forêt. Même le moteur tente de se faire discret dans ses ronronnements. 

Au cœur de ces eaux peu profondes, nous naviguons avec un œil sur le paysage, l’autre sur le profondimètre. L’un vit l’extase, l’autre le stress d’une réalité spatiotemporelle qui nous rattache au présent. Sans ces instruments électroniques destinés à faciliter nos déplacements, on pourrait aisément s’imaginer à une autre époque. Il n’y . . .

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