Ces derniers temps, j’ai eu un échange amical, mais quand même un peu intense avec un bon ami qui me reprochait mon manque de confiance envers certains médias de grandes écoutes. « À un certain moment, il faut quand même faire confiance à quelques-uns d’entre eux », rétorquait-il.
C’est vrai. Et je ne les classe pas tous sur le même pied d’égalité non plus, mais c’est également vrai que ma foi envers les médias en général est en chute libre.
Ça m’a donc poussé à une petite introspection qui m’a permis de réaliser qu’avant de me consacrer à l’étude du dossier du phoque, j’étais plutôt ce que l’on pourrait qualifier de généraliste. Je m’intéressais à tout et rien, surfant un peu sur la plupart des sujets, mais sans jamais creuser très profond.
Depuis une douzaine d’années, j’ai consulté des milliers de documents sur ce dossier controversé : études, documentaires, articles, livres, exposés, graphiques… Je me suis en quelque sorte spécialisé en débordant un peu sur la gestion d’autres espèces charismatiques (éléphant, rhino, requin, baleine, ours polaires…).
Ce sujet est devenu, en quelque sorte, mon baromètre de connaissance.
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