Parlons talk-shows

par Hugo Bourque

J’ai toujours été attiré par les talk-shows. Quand j’étais petit, même si ça ne s’adressait pas vraiment à moi, j’aimais ce type d’émission. Entendre des anecdotes, découvrir des chansons, rire de sketches ou de blagues d’invités. Les talk-shows ont vraiment bercé mon enfance, et m’ont accompagné tout au long de ma vie en me proposant souvent des moments magiques.

Par exemple, Montréal en direct, avec par Pierre Marcotte. Mais surtout mon segment préféré de l’émission : le Bar en direct, avec Claude Blanchard qui racontait plein de jokes. Jokes de belles-mères, de gars saoul, de Newfies. Tout y passait. Et j’essayais de les retenir pour pouvoir les raconter à mon tour par la suite. J’aimais tellement ça que j’imitais parfois Pierre et Claude sur un petit magnétophone à cassettes. J’y enregistrais des débuts d’émissions, et comme j’avais à peu près six ans à l’époque, mon humour n’était pas encore très raffiné. Mon émission s’appelait Montréal en pet et mon texte d’ouverture de chaque émission consistait à faire un bruit de pet avec ma bouche et de courir jusqu’à la salle de bain pour flusher la toilette. Des heures de plaisir.

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