Notre vision d’une pelouse bien tondue d’un vert homogène couvrant l’entièreté du terrain semble encore être la norme, même si c’est un non sens au niveau écologique. Des décennies de marketing ont fait la vie dure à la biodiversité en prônant un gazon parfait comme symbole de réussite et de propreté. Le moment est-il venu de revoir nos manières de faire?
Une étude récente du Centre de recherche sur les interactions des bassins versants/écosystèmes aquatiques de l’Université du Québec à Trois-Rivières démontre que les pelouses vertes et bien entretenues forment des écosystèmes de faible biodiversité.
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