Si vous m’aviez dit qu’un jour j’irais sur la côte américaine, j’aurais cru à une mauvaise blague. Avec le sable qu’on a aux Îles? Pfutt! C’est digne des cartes postales kitsch qu’un ami de mon père envoyait des États chaque été. J’en avais assez de mon souvenir de Plattsburgh, de sa plage rocailleuse, de la malbouffe et du coup de soleil monstre que j’avais rapporté de là-bas. Vous vous en doutez, je ne me reconnais pas dans les snowbirds.
* * * * *
Pour accéder au contenu complet, abonnez-vous! Seulement 99$ taxes incluses par an.