À grands coups de guenilles

Ces matins-là, maman ouvrait mes stores à la grandeur beaucoup trop de bonne heure dans notre chambre. Il fallait qu’on se lève, mon frère et moi, parce que débutait le grand ménage du printemps. Quel calvaire pour l’enfant que j’étais. Je ne comprenais pas pourquoi on faisait tout ça : « Mais, pourquoi c’qu’on fâ ça ? C’est même pas sale ! », qu’on disait. Et l’on disait ça chaque année…

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