Le 2 février en fin d’après-midi, le Provence quittait la marina de Las Palmas. La pleine lune avait eu lieu la veille et ses effets se faisaient encore sentir. Il y avait de la fébrilité dans l’air. Le capitaine était nerveux. C’était palpable. J’allais rapidement constater à quel point l’anxiété le rongeait de l’intérieur.
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