Autrefois quand on me parlait d’aller en mer, j’imaginais un bateau de pêche rempli de homards ou de poissons frais pourchassé par les mouettes ou encore une belle goélette filant à vive allure sous le vent. Pour l’un comme pour l’autre, il y a un incontournable qui n’apparaissait pas dans ces évocations poétiques : le maudit moteur !
La voile ne se fait pas sans bruit. Ou trop peu. C’est à la fois un choc et un deuil à assumer. Je l’ai appris à mes dépens. Et j’ai dû me faire à l’idée, moi l’écologiste de la première heure : le moteur est un emmerdeur.
* * * * *
Pour accéder au contenu complet, abonnez-vous! Seulement 105$ taxes incluses par an.